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Le tombeau de Saint Pierre de Véronique fournier

Publié le par Olivier Delcroix

Je ne pourrais pas dire que je découvre l'auteur, car j'ai déjà lu précédemment "appli mortelle" et "la vallée des rois", mais ce qui est certain, c'est que je prends toujours autant de plaisir à la lire. Sa prose est claire et le vocabulaire bien pensé. Quand il y a un risque d'incompréhension, l'auteur nous fait des notes pour expliquer. Et puis c'est toujours aussi addictif. L'auteur sait parfaitement où elle veut nous emporter.

10 ans ont passé depuis l'escapade pleine d'aventures et de dangers au Caire d'Hélène Velcourt dont la popularité et les compétences ne sont plus à prouver. Mais comme elle n'en a pas assez, la voilà partie de nouveau en Egypte puis à Rome. En Egypte, là même où elle a trouve une statue 10 ans plus tôt; elle revient. Évidemment c'est le début d'une nouvelle aventure plus qu'énigmatique. Avec son compagnon et deux amis de fac, dont l'un est devenu Archevêque de Paris, elle va enquêter et va même se payer le luxe de voler un ossuaire. Et pas n'importe lequel, puisque d'après ces recherches, il s'agit de celui de Marie, mère de Jésus qui ne serait donc pas monter au ciel rejoindre son fils.  L'archevêque de Paris va se récolter puisque ce serait remettre en cause un dogme, mais sans succès au début. Les recherches avancent et alors que Hélène va quasiment prouver qu'elle a raison, un drame intervient.

Je ne vous en dirait pas plus, car la fin n'est pas du tout ce que j'avais prévue et aller au terme de ce roman, c'est juste terrible.

Je vous invite à lire ce roman que vous aurez du mal à lâcher avant la fin.

Le tombeau de Saint Pierre de Véronique fournier

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Il fallait me laisser mourir de Séverine Vialon

Publié le par Olivier Delcroix

Je termine à l'instant un nouveau roman qui était resté au chaud dans ma liseuse depuis de nombreux mois. Grave erreur, car je me suis délecté à lire ce roman qui a,écourté mes nuits depuis trois jour jusqu'à ce que mes yeux piquent au risque de perdre le fil de cette histoire menée d'une main de maître par l'auteur.

3 crimes abominables, ceux de trois femmes d'un âge différent, d'un physique différent. En gros rien ne semble les relier seulement, elle ont croisé le chemin d'un possible tueur en série qui les a égorgées, puis selon le cas, les a touché pour l'une à la poitrine, l'autre dans son intimité et dont le corps de la troisième a servi de cible pour un couteau bien aiguisé.

Une enquête pour la gendarmerie de Châteaudun, dont l'officier supérieur en charge de l'enquête n'est autre qu'une capitaine arrivée récemment de Bordeaux pour suivre son mari et soumise au profond machisme d'une équipe bien soudée qui a du se défaire tragiquement de son chef disparu subitement.

L'enquête n'est pas simple et l'ambiance machiste au sein de la brigade ne fait qu'attiser les difficulté que Chantal la capitaine va finalement réduire à néant.

J'aime qu'un plan se déroule sans accroc disait Hannibal dans la série "l'agence tout risque" bien connue des lecteur de mon âge, c'est à dire qui ont passé le demi-siècle. Et c'est exactement ça. Un plan qui au début se déroule sans accroc pour le tueur.

Les descriptions des étendues vertes, du caractère de gendarmes et des nombreux interrogatoires font que le roman nous tient en haleine et retarde la possibilité de connaître le nom du meurtrier...que je ne vous révèlerai pas ! L'enquête dure donc et pour Chantal, c'est la fin des haricots. Elle n'en peut plus des multiples enlisements et de reprises à néant !

Mais finalement, elle prend sur elle et avec son équipe, elle parvient à confondre le meurtrier par un judicieux coup de poker.

L'auteur décrit beaucoup tout au long du roman, dissémine quelques traces d'humour bien placées et permet donc à son lecteur de se faire plaisir tout au long de sa lecture. Ce roman est parfaitement réussi et la seule chose que je regrette, c'est de l'avoir laissé dormir pendant un bon moment dans l'antre nébuleuse de ma liseuse. Pour comprendre le rapport entre le titre et l'histoire, là encore, l'auteur nous fait mariner presque jusqu'à la fin.

Une seule autre chose, je lirai très probablement des thrillers de cette auteur s'il y en dans ses autres écrits. Aussi, je vous conseille de lire ce roman en évitant comme moi de le garder au chaux et oublier qu'il est là.

 

Il fallait me laisser mourir de Séverine Vialon

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Dans l'ombre du doute de Sandrine Defradat

Publié le par Olivier Delcroix

Je reviens sur un roman acheté pendant le confinement et que j'avais laissé de côté... à tort.

Il s'agit du roman de Sandrine Defradat, dans l'ombre d'un doute.

Une jeune femme Alix, la trentaine, psychiatre disparaît dans des conditions un peu bizarres le 10 novembre à Charleville Mézières.

En même temps, Céleste, se remet d'un accident dont elle n'a aucun souvenir de l'autre côté de la frontière en Belgique.

Quel rapport entre ces deux situations ?

La mère de Alix ne croit pas que sa fille ait pu disparaître comme ça sans laisser de trace et comme la gendarmerie ne semble pas se précipiter sur une enquête, elle embauche un détective privé.

L'auteur parvient à changer de ton dans sa narration lorsqu'il s'agit de l'enquête qui, si elle commence difficilement va prendre une autre ampleur très vite et dans la situation de Céleste qui après son accident ne se souvient plus de rien. Tout est fait dans son écriture addictive pour ne pas nous laisser de temps mort.

Le détective privé avance, au début lentement puis soudainement à marche forcée ! Il finit par trouver ce qu'il cherchait.

Mais vous n'en saurez pas plus à moins de lire ce roman dont vous ne sortirez pas indemne !

Bravo à l'auteur que je lisais pour la première fois et qui a su me tenir en haleine du début à la fin. Je vous invite à lire ce roman bien réussi.

 

Dans l'ombre du doute de Sandrine Defradat

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Etheria de Erwin Cam

Publié le par Olivier Delcroix

J'ai changé de registre pour lire ce que je croyais être un roman, mais qui n'est qu'une nouvelle lue en deux heures. Un peu de Science fiction.

Sur la forme, il n'y a rien à dire. Pas de fautes, une prose addictive facile à lire, même pour des lecteurs pas obligés d'être habitué à cette catégorie. Mais comme à chaque fois que je lis une nouvelle, je reste sur ma faim. Si l'histoire est intéressante, rien n'est réellement développé. Tout va trop vite alors qu'à la base l'idée était sympa. L'auteur aurait pu en faire un vrai roman tout aussi addictif et j'avoue que j'aurais apprécié beaucoup plus.

L'histoire se passe dans un monde lointain et inconnu sur une planète nommée Etheria. On est en présence de Aël, un enfant d'une douzaine d'années qui est doué de puissants pouvoirs. son rôle est de préserver l'ordre cosmique, mais son rôle n'est pas aussi simple et il va être mis face à bien des difficultés imprévues.

Etheria de Erwin Cam

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Bonheur post mortem de Patrick Darthial

Publié le par Olivier Delcroix

Un homme marié dont le couple bat de l'aile !

Une femme mariée dont le mari a une maitresse, mais qui ne le quittera pas, promesse faite depuis longtemps !

Une rencontre improbable sur une site de rencontre... et le début d'une formidable histoire d'amour entrecoupée par une rupture de plusieurs années, mais qui ne retirera rien à un véritable amour partagé.

Bastien dont le couple ne fonctionne plus formidablement se connecte sur un site de rencontre et... rencontre Mathylde venue voir ce qu'il est possible de voir sur un tel site. Son pseudo ne trompe pas "lapourvoir".

De message en SMS puis mail, la rencontre virtuelle prometteuse devient réel et c'est très vite le coup de foudre. Ceci étant, Nos deux amoureux prennent le temps. Aucun des deux n'ayant envie de divorcer.

La suite, vous la lirez, car cette fabuleuse histoire va vous plaire.

L'auteur raconte sa propre histoire et c'est tout simplement délicieux ! Jamais un mot grossier, jamais une méchanceté gratuite même si parfois certains mots sont durs. Une prose addictive qui rend presque cette prodigieuse histoire d'amour comme une histoire à suspense. Où chacun est-il capable d'aller pour l'autre. Je viens de terminer ce roman à Alicante (petit clin d'oeil à l'auteur qui comprendra). Un auteur comme celui-ci doit être extra et échanger de vive voix doit aussi être géant.

Moi qui ne suis pas feel good ou romance, j'ai adoré et me suis laissé emporté ! Je vous invite à faire comme moi. Vous achetez ce roman sans savoir où vous allez et dès le début la lecture vous ravira.

Bonheur post mortem de Patrick Darthial

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les mânes de l'ombre de Katell Curcio

Publié le par Olivier Delcroix

Nous voici pour un moment en plein Paris et pas n'importe où puisque le roman commence dans la villa Montmorency en plein cœur du quartier Auteuil, là où personne ou presque ne peut accéder. Cette villa surnommée parfois la cité interdite va ouvrir ses grilles à Marc Sevin, officier au mythique 36. Et pour cause, là où personne ne peut pénétrer, il y a eu un suicide (?) ou un meurtre, Marc va se charger de le découvrir.

A côté de ça, une autre affaire : On a retrouvé un bras, probablement féminin, seulement, le reste du corps est introuvable et des traces d'ADN sont semblables à celles découvertes sur notre pendu. Un chirurgien renommé.

D'où vient l'argent nécessaire à acheter dans cette prestigieuse villa dans laquelle le moindre bien se monnaie autour de 5 millions d'euros. Une histoire rocambolesque.

Marc va devoir la jouer fine pour trouver le fin mot de cette histoire macabre. Des aller-retours dans le sud-ouest et des recherches plutôt difficiles.

Ce roman, le deuxième de l'auteur que je lis ne m'a pas déçu, mais alors pas du tout. Il est bien écrit et l'auteur se permet même de parler du 36 comme si elle y était. Son roman est parfaitement renseigné surtout sur la Villa Montmorency dont personne ne connaît l'intérieur. Il faut dire c'est un peu guindé ! L'enquête est parfaitement menée dans ce roman que l'auteur guide d'une main de maître. Impossible de s'arrêter tant la prose est addictive. L'auteur a, en plus, une imagination (macabre) sans faille. Je n'ai trouvé aucune incohérence. L'avancée de l'enquête avec les retours en arrière indispensables pour comprendre nous tient réellement en haleine.

Je vous invite à lire ce roman, vous ne serez pas déçus et passerez un moment extra.

 

 

les mânes de l'ombre de Katell Curcio

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la vallée des rois de Véronique Fournier

Publié le par Olivier Delcroix

Cette fois, je change carrément de lieu et de climat et me voici en Égypte. Depuis le temps que j'en rêve, à défaut d'y aller, l'auteur fait en sorte que j'y sois. En compagnie de Hélène Velcourt, jeune égyptologue fraichement sorti de l'université où elle a passé 8 ans de sa vie pour apprendre tout ou presque sur les pharaons, leur dynastie et plus encore.

Nous voilà donc au Caire où Hélène a une volonté plus forte que toute autre, retrouver le tombeau du pharaon Sethi 1er qui a régnait la bagatelle d'une cinquantaine d'années. En plus, pour ce qu'elle en sait, dans sa tombe se cache également un trésor d'une valeur inestimable. Seulement entre la théorie et la pratique Hélène se rend compte que rien ne sera facile. Entre le marché d'art noir, les collectionneurs qui rêvent de s'approprier ce trésor et la violence un peu partout, sa recherche est une véritable aventure digne de Indiana Jones.

Même les personnes qu'elle rencontre qui semblent honnêtes ne le sont pas et donner sa confiance à l'une ou l'autre devient très vite impossible.

Hélène va t-elle trouver ce qu'elle cherche ?

Un roman qui, outre nous livrer une aventure épique, nous présente différents protagonistes bien différents et décrit avec beaucoup de psychologie. Même le mari de Hélène, venu la rejoindre que j'ai trouvé pour le moins arrogant, parvient à changer et devenir un peu compréhensif. Même dans les pires moments de l'épopée de Hélène, l'auteur nous livre des descriptions d'une rare qualité.

De toute évidence soit l'auteur est une passionnée de l'Egypte ancienne soit elle a fait des recherches très poussées. Peut-être les deux.

Un roman qui ne doit pas rester en librairie, mais que vous devez obligatoirement lire. Un roman qui mêle enquête et culture avec brio.

la vallée des rois de Véronique Fournier

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Teleski qui croyait prendre de Florian Dennisson

Publié le par Olivier Delcroix

Rien ne vaut un roman de Florian Dennisson qui se passe à la montagne où on se les pèle sérieux pour lire au bord de la méditerranée où on contraire il fait très chaud.

Et quel roman ! Teleski qui croyait prendre. Rien que le titre m'amuse et c'est la raison pour laquelle j'ai opté pour cette lecture. Une histoire du poulpe, dont la collection a été initiée au siècle dernier par Jean Bernard Pouy. Tous les auteurs pouvaient la continuer à condition de respecter certaines règles.

Florian Dennisson s'est plié au jeu pour le bonheur de tous les lecteurs de polars qui ont de l'humour car il en faut.

Le roman, une enquête policière est fort bien écrit. L'auteur parvient à changer de style de prose dans la bouche des différents protagonistes selon la situation. J'avoue que les propose de Gabriel, le flic sont à exploser de rires. Toujours plein d'humour souvent en rapport à des situations extérieure, mais surtout plein de cynisme et c'est ça qui me plaît. Il n'y a pas le moindre temps morts dans cette enquête particulièrement atypique, mais évidente pour les lecteurs du poulpe.

Le vocabulaire est comme la syntaxe, très différent dans le registre selon l'auteur des dialogues et l'auteur manie avec brio ces changements réguliers tout au long du roman.

Résumé : Pour éviter la morosité Gabriel Lecouvreur flic de l'ile de France qui s'ennuie prodigieusement dans son taf, va se retrouver à Courchevel, ville de montagne des friqués, des guindés et aussi des truands. Sur place, un friqué dont l'influence n'est plus à faire, est retrouvé mort lors d'un cambriolage. Mais pour le poulpe, la mort et le cambriolage n'ont rien à voir et il va le prouver.

Attendez-vous à une enquête pleine d'irrégularités, mais qui porte ses fruits.

En gros, vous avez trois heures de lectures pour vous éclater.

 

Teleski qui croyait prendre de Florian Dennisson

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Invisibles et fatales (tome 1 de Muriel L Mazoelis

Publié le par Olivier Delcroix

D'abord, je tiens à remercier Muriel (que je ne connais pas) qui m'a accordé la lecture de son premier tome de francs mensonges - invisibles et fatales. Outre ce grand merci, je peux déjà affirmer que je lirai la suite tant ce tome 1 m'a remué.

Un roman parfaitement écrit avec une prose de grande qualité. Même si ce roman est long, il n'y a pas de temps morts et la manière d'écrire avec des come-back, des vues sous différents angles rend la lecture addictive. 4 jours et c'est plié. Ses descriptions sont impressionnantes de réalisme et son cursus dans le milieu scientifique n'y sont sûrement pour rien. En effet, ce dont elle nous parle se rapproche de connaissances médicales évidentes ou d'une grande recherche dans ce domaine. Un roman que l'on a du mal à lâcher, même quand les yeux commencent à piquer !

Matthiew est un interne aux urgences et travaille tranquillement sans vagues, mais avec une volonté de faire son travail avec classe. Seulement si tout roule, il se passe quelque chose de pas ordinaire et bien peu habituel. D'un seul coup, s'enchaîne plusieurs morts (suicide ou meurtres ??) et la violence s'immisce crescendo dans sa petite vie tranquille. Deviendrait-il une cible ? Pourquoi ? Qui pourrait lui en vouloir à ce point ? Avec son ami, Paul, il va vouloir en savoir plus tandis que la police de son côté, ne souhaite pas non plus en rester là.

Cette histoire est maîtrisée tambour battant et ne nous permet pas de nous reposer sur nos lauriers.

J'invite les lecteurs qui me liront à faire comme moi, à se précipiter sur ce roman, premier tome d'une trilogie qui ne les laissera pas indemnes.

 

Invisibles et fatales (tome 1 de Muriel L Mazoelis

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Prescience de Isabelle Allegre

Publié le par Olivier Delcroix

Encore un petit retour de lecture sur un roman acheté en novembre dernier : Prescience de Isabelle Allègre.

Gabrielle, c'est l'une des principale protagoniste du roman et elle partage cette place avec Elisaelle qui devient très vite une guerrière.

Gabrielle est issue d'une famille de druides, mais malchance pour elle, elle n'a aucun talent druidique ce qui va la reléguer plus bas que bas ! Forcément, sans ces talents, on n'est pas grand chose et ce sont les tâches les plus ingrates et infâmes qui seront pour elle jusqu'au jour où elle rencontre une personne qui jusqu'à lors ne faisait partie que de ses rêves.

Et bim ! elle décide de la suivre et donc de quitter sa famille et la forêt dans la quelle elle vivait jusqu'à lors. La vie ne sera pas rose, car à bien des reprises, le chemin d'Elisaelle, la véritable guerrière sanguinaire, va être dangereux.

Mais si Gabrielle n'a aucun talent druidiques, elle a pour elle quelque chose de bien plus intéressant : le don de voir pendant ses rêves, le passé où l'avenir et par là même de le changer. Il s'agit de la prescience qui va permettre à nos deux protagonistes de sortir parfois de situations sinon mortelles, bien dangereuses.

Un roman qui se lit bien parce qu'il est parfaitement bien écrit. A part deux ou trois fautes et une ponctuation pas terrible, tout va bien. Le vocabulaire parfaitement adapté à ce périple, à cette aventure permet une grande fluidité. Il est même parfois difficile de d'arrêter et de reprendre plus tard.

Je ne lisais plus trop de fantastique depuis quelques mois et ce roman m'a clairement donné l'envie de m'y replonger.

Bravo à l'auteur qui nous livre dans ce roman une histoire vraiment sympa, bien maîtrisée et qui peut en plus, être lu par un large lectorat, car même lors des combats, rien n'est interdit aux jeunes.

 

 

 

Prescience de Isabelle Allegre

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